« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer »*

23 avril 2022

Installé devant sa télévision, l’humoriste suisse Thomas Wiesel a ainsi pris en photo et commenté sur sa page facebook  certains moments de ce long échange : « J’ai regardé le débat Marine Le Pen – Emmanuel Macron, je sais pas si j’ai réussi à dire plus de conneries que les deux mais j’ai essayé ». Quand la présidente du RN affirme que son obsession est que les « Français puissent travailler dans leur propre pays », le comédien répond : « c’est pour ça que les assistants parlementaires du RN à Bruxelles bossent pour le parti en France et pas pour Bruxelles ». Et quand Emmanuel Macron explique : « votre projet est attentatoire à l’universalisme français », il commente : « Macron s’emmerde un peu, il commence à placer des mots pour gagner des paris avec les potes de Rothschild »…

Et finalement de l’avis général, les vrais vainqueurs du débat sont … les interprètes. «En vrai, osef de Macron et Le Pen, votons pour leur interprète de langue des signes française à la place»**** conseille ce twitto. Un humour noir dont on a bien besoin avant d’aller voter demain. Parce que vous allez tous voter demain, n’est-ce pas ?

La nouvelle grande mode sur Twitter et Instagram est, parait-il, de se montrer en pleurs dans des vidéos associées au hashtag « cry » (plus de 14 milliards de vues sur Twitter). Espérons que dimanche soir nous n’en ferons pas autant. « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer »* disait Beaumarchais…

 

* Pierre-Augustin Caron Beaumarchais

**le Gorafi

***@MisterVal

**** Harper @ChiffonnetteFan

 





source : www.influencia.net

agence de communication à Rennes

« Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer »*
Mot clé :                            
Agence LDP