Les premières indications montrent – on pouvait sâen douter – le mal-être de nos concitoyens qui se disent frustrés car ils nâont pas le sentiment de sâoffrir suffisamment de petits plaisirs.
Mais – et câest sans doute une nouveauté – ces mêmes Français se montrent plutôt sensibles au sort des autres et reconnaissent être affectés par leurs difficultés. Résultat : 60% – et ce nâest pas rien – estiment qu’il est difficile de se faire plaisir sans culpabilité aujourd’hui !
68% – et 74% chez les moins de 35 ans – se montrent même souvent tentés par le repli et lâenvie de se couper du monde pour retrouver du plaisir.
De nouveaux comportements émergent ainsi, et les marques ont tout intérêt à les prendre en compte dans leurs offres et leurs communications, pour que le bonheur soit à nouveau un plaisir sans remords.
*Socrate
** étude Harris Interactive/ Observatoire Cetelem, avril 2022
source : www.influencia.net