Le parcours d’obstacles Ninja Warrior pourrait être intégré comme épreuve aux Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles.
L’emblématique parcours du combattant Ninja Warrior pourrait bientôt rejoindre les Jeux olympiques rapporte Deadline. En effet, le propriétaire de Tokyo Broadcasting System Television (TBS), a révélé qu’il travaillait avec plusieurs partenaires pour faire de Ninja Warrior une cinquième discipline du pentathlon moderne aux Jeux olympiques de 2028 à Los Angeles.
Deux types de sports d’obstacles à l’étude
Selon l’Union Internationale de Pentathlon Moderne (UIPM) – qui travaille avec TBS, World Obstacle, et la Fédération Internationale de Sports d’Obstacles (FISO) sur cette proposition- deux types de sports d’obstacles sont à l’étude pour intégrer les JO. Et l’un étant le ‘ninja competition’ popularisé par Ninja Warrior dont le nom original japonais est Sasuke.
Depuis sa première diffusion en 1997, l’émission a rencontré un grand succès. Ainsi, de nombreux pays ont adapté l’émission dont les États-Unis, le Royaume-Uni et la France. En France, l’émission est diffusée depuis 2016 sut TF1 et présentée par Christophe Beaugrand, Denis Brogniart et Iris Mittenaere.
Afin de déterminer si le jeu pourra faire partie des JO, une première compétition test aura lieu ce 27 juin à Ankara, en Turquie. Le tout dans le cadre d’une collaboration entre l’UIPM et la FISO. En effet, les deux organismes ont demandé au TBS de fournir un parcours d’obstacles à utiliser comme démonstration pour l’événement.
Le parcours intégré au pentathlon moderne
Si le parcours obtient validation, il intégrera donc l’épreuve du pentathlon moderne. Le pentathlon moderne est un sport olympique de cinq disciplines : l’escrime, la natation, le saut d’obstacles équestre, le tir au pistolet et la course à pied. Le parcours Ninja Warrior remplacerait la discipline équestre.
Miho Takashima, qui gère le format à l’échelle mondiale, a déclaré :
« Ninja Warrior représente l’aboutissement de la longue histoire de développement de contenu de TBS. Nous sommes impatients de travailler avec l’UIPM et la FISO pour élargir encore les possibilités des courses d’obstacles. »
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source : kultt.fr
