Swipeback joue les cracks du métavers, et ça claque !

30 mars 2022

Voici Nikhil Roy et Max Vedel, les co-fondateurs du studio créatif indépendant SwipeBack, fondé en 2019.

Ils sont moches… leurs avatars.

Ils sont moches… Leurs avatars. Mais derrière ces masques, se cachent deux cerveaux bien foutus. À 29 et 34 ans, les voilà à la tête d’une agence de création et de production digitale qui se repositionne aujourd’hui comme étant la première agence créative dédiée au Metaverse et au Web3… On s’ennuie déjà, non ? C’est le quinzième mail que la presse reçoit aujourd’hui, sur le nouveau « planté » de drapeau dans le gras du Metavers world…

Le métavers est un fantasme totalement virtuel

Bonne nouvelle, les deux sioux n’y croient pas du tout : « le metavers est un fantasme totalement virtuel qui n’existe pas pour des raisons techniques tout d’abord, puisqu’il est impossible notamment d’interconnecter toutes les plateformes existantes », commence le génie, « tout le monde est follement excité par ce monde qui nous fait voir double, mais il faut que l’on arrête d’imaginer un univers totalement immersif dans lequel chacun perdrait sa version originale de soi… ». Alors SwipeBack s’active en matière de gaming, et propose des expériences hors sol qui ont conquis des millions de personnes. Les diverses « aires de jeu » Sandbox (avec sa devise, Sand), Decentraland (avec sa cryptomonnaie Mana, et ses coordonnées Land) ou Space Somnium (avec ses 5 000 parcelles VR), enchantent le quidam curieux depuis respectivement 2021, 2020, et 2018…

Mais, la réalité réelle est bien plus cruelle…

Si Nikhil et Max ont rebaptisé leur hotshop, première agence créative dédiée au métavers et au Web3, c’est tout simplement pour faire comprendre à leurs prospects ce qu’ils font. Leur activité repose sur cinq piliers, la réalité mixte (AR/VR), soit «la couche la plus tangible du Metaverse, cette pellicule digitale qui vient se superposer au monde réel pour nous donner plus d’information, d’interaction ou de rêve ». Le gaming donc « où nous mettons toujours le joueur au centre de nos activations pour les marques. Puisqu’on le sait, connaître leurs codes, et les respecter est essentiel », poursuit Nikhil Roy. «Nous créons des avatars virtuels permettant d’interagir avec le public d’une nouvelle façon, ce qui nous rend  plus créatifs, et nous pousse à nous affranchir des limites du réel, en mêlant le digital au réel, tout en ayant un contrôle total sur ces personnages ».

SwipeBack pratique les NFT, couramment.

Si SwipeBack pratique les NFT, couramment. « Cette technologie ouvre plein de possibilités, aussi bien pour authentifier la participation à certains évènements, que pour être garants de notre inventaire digital qu’on transportera à travers le metaverse », le social media n’a pas de secret pour la société, « toutes ces nouvelles plateformes sont super intéressantes mais il faut quand même pouvoir toucher le plus grand monde pour qu’ils les rejoignent. Et pour cela rien de mieux que le social media ».

The Creative Metaverse Agency…

«Cette transition, ou nouvelle identité, – Creative Metaverse Agency -, s’est faite naturellement, justifie le co-fondateur, « on faisait déjà énormément d’AR et d’activations gaming pour nos clients, c’était donc la suite naturelle, et le fait qu’on développe aussi des projets NFT et des influenceurs virtuels n’a fait que renforcer ce virage.»

Des clients prestigieux…

En clair, Swipeback, 20 salariés, deux ans tout rond, fait (un peu) la pluie et le beau temps pour Lego, Nike, L’Oréal, Gucci, Dacia, Carrefour, Ankorstore, Bacardi, Pernod-Ricard … Ces jeunes ont une approche moderne et ont appris de leurs aînés ce qu’il ne fallait pas faire, comme, de répondre à des appels d’offre, « nous n’avons pas à sauter à travers des cerceaux de feu pour prouver ce que nous savons faire ». Engager des stagiaires « payés une misère », être en mode charrette, « cela signifierait que nous travaillons mal », et bosser le week-end, « nous adopterons dès l’an prochain, la semaine de quatre jours pour l’ensemble de nos collaborateurs,  et conclut le créatif, « le burn-out ne fait pas partie de nos convictions ». C’est noté.

 

La création d’une île pour Lego dans Animal Crossing.

Global Pride dans Animal Crossing.

 





source : www.influencia.net

agence de communication à Rennes

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