Jérôme Cohen : “Le Grand Défi est une aventure démocratique et participative appliquée au monde économique. C’est ce qui fait sa force”

Jérôme Cohen : “Le Grand Défi est une aventure démocratique et participative appliquée au monde économique. C’est ce qui fait sa force”

The Good : Comment est né le Grand Défi ? Jérôme Cohen : Le Grand Défi est né d’une discussion avec Virginie Raisson-Victor. Nous avions été assez impressionnés par la montée en puissance des délégués de la Convention Citoyenne pour le Climat et nous sentions le besoin d’adapter cette démarche

Est-ce que l’important c’est vraiment de participer ?

Est-ce que l’important c’est vraiment de participer ?

Conventions citoyennes, référendum d’initiative partagée, consultations diverses, budgets participatifs, grand débat… Peut-être notre époque a-t-elle inventé la suite de cette forme de démocratie dans laquelle la règle du 50% + 1 voix semblait indépassable. Ou peut-être pas, en fait. Peut-être faut-il passer à autre chose. Ou peut-être pas, finalement. Et

Le bonheur, c’est le plaisir sans remords*

Le bonheur, c’est le plaisir sans remords*

Les premières indications montrent – on pouvait s’en douter – le mal-être de nos concitoyens qui se disent frustrés car ils n’ont pas le sentiment de s’offrir suffisamment de petits plaisirs. Mais – et c’est sans doute une nouveauté – ces mêmes Français se montrent plutôt sensibles au sort des

« Être une licorne, c’est cool mais commercialement, ce titre ne change pas grand chose », Philippe Salah (DentalMonitoring)

« Être une licorne, c’est cool mais commercialement, ce titre ne change pas grand chose », Philippe Salah (DentalMonitoring)

INfluencia : comment un docteur en biophysique moléculaire de l’École Polytechnique se retrouve-t-il à la tête d’une start-up spécialisée dans l’imagerie dentaire ? Philippe Salah : je connaissais déjà ce milieu car j’avais fondé en 2007 une start-up baptisée Harmony qui avait mis au point un système d’appareillage orthodontique invisible

Pierre Gauthier : « c’est le moment d’accélérer du côté de la publicité programmatique digitale hors GAMAM »

Pierre Gauthier : « c’est le moment d’accélérer du côté de la publicité programmatique digitale hors GAMAM »

Vous avez une solide expérience dans le digital, qu’est-ce-qui vous a donné envie de rejoindre Smile Wanted ? Smile Wanted est aujourd’hui une des technologies de publicité programmatique les plus dynamiques et les plus avancées du marché français avec notamment plus de 80% de croissance entre 2020 et 2021. Avec

“Ce qui me motive, c’est l’idée de transformer une industrie”, Jonathan Benhamou (PeopleDoc et RésilienceCare)

“Ce qui me motive, c’est l’idée de transformer une industrie”, Jonathan Benhamou (PeopleDoc et RésilienceCare)

Jonathan Benhamou a grandi près de Grenoble, puis étudié à HEC, avec, déjà, un penchant pour l’entrepreneuriat. Il a 24 ans et un diplôme tout frais lorsqu’il lance donc, avec 3 de ses compères, sa première entreprise, dont l’idée consiste à remplacer les boîtes aux lettres par un outil digital

“Avoir une communauté digitale, c’est avoir un réseau et pouvoir en exploiter la force”, Justine Hutteau, co-fondatrice de Respire.co

“Avoir une communauté digitale, c’est avoir un réseau et pouvoir en exploiter la force”, Justine Hutteau, co-fondatrice de Respire.co

Faut-il vous présenter Justine Hutteau? Au cas où vous ayez passé cette dernière année dans la forêt, voici de quoi vous la situer: Justine Hutteau a 27 ans. Elle a étudié à HEC Montréal, terminant ses études par un mémoire dont l’intitulé initial était « Pourquoi les gens courent et

Truth Social : Donald Trump dévoile enfin son réseau social… et c’est loin d’être une réussite

Truth Social : Donald Trump dévoile enfin son réseau social… et c’est loin d’être une réussite

Le moment que personne n’attendait est – malheureusement – arrivé : après des mois d’un teasing acharné, et de plusieurs reports, le nouveau réseau social made by Donald Trump débarque enfin sur l’Apple Store. Une drôle d’aventure entrepreneurial pour un ancien président des Etats Unis, uniquement motivée par son bannissement

Marie-Ann Wachtmeister (Courbet) : “On a toujours voulu être choisis pour l’écologie. Pour nous c’est une réussite.”

Marie-Ann Wachtmeister (Courbet) : “On a toujours voulu être choisis pour l’écologie. Pour nous c’est une réussite.”

The Good : Courbet a une histoire et un nom singuliers. Comment est née cette marque disruptive ? Marie-Ann Wachtmeister : Courbet, c’est la convergence entre deux volontés. Celle de Manuel (Mallen) qui a travaillé 30 ans sur la place Vendôme, qui en découvrant le diamant de laboratoire voulait monter

C’est plus sorcier… – Influencia

C’est plus sorcier… – Influencia

C’est le cas de deux décisions qui viennent d’être prises par la Catalogne et l’Ecosse. Les députés du Parlement autonome catalan viennent en effet d’adopter une résolution visant à réparer et à restaurer le mémoire de plus de 800 femmes accusées de sorcellerie et victimes de “persécution misogyne” entre le XVe et

« Le super moi, c’est d’être père », Jean-Emmanuel de la Saussay (Storymind)

« Le super moi, c’est d’être père », Jean-Emmanuel de la Saussay (Storymind)

Vous l’aurez sans doute constaté en trainassant dans les rayons de vos supers et hypermarchés, chaque fois plus d’hommes, jeunes, et moins jeunes scrutent les étiquettes, balaient d’un regard perçant, les rayons, et remplissent leurs caddies avec méthode, et rigueur. 71% des hommes 15-64 ans qui déclarent s’occuper eux-mêmes du

« Le site web, c’est le premier instant de vérité de l’entreprise », Antoine Hébert (Novius)

« Le site web, c’est le premier instant de vérité de l’entreprise », Antoine Hébert (Novius)

INfluencia : aujourd’hui le premier contact d’une entreprise avec sa cible, c’est très souvent son site internet. Cela entraîne quoi comme conséquence ? Antoine Hébert : le site web, c’est le premier instant de vérité de l’entreprise. Il conditionne la manière dont la marque et les services qu’elle propose sont perçus par

L’enfer, c’est l(es) autre(s)… – Influencia

L’enfer, c’est l(es) autre(s)… – Influencia

  Ok la révélation de sa chanson « l’Enfer » était certainement préparée à l’avance.  Ok ce n’était pas du journalisme. Mais quand les acteurs ou les réalisateurs viennent parler de leur film, où est la différence ? Ils font exactement la même chose et personne n’y voit le mal. Alors franchement, moi non

Caroline Neyron (Mouvement Impact France) : « Notre enjeu c’est de remplacer la prime au vice par la prime à la vertu »

Caroline Neyron (Mouvement Impact France) : « Notre enjeu c’est de remplacer la prime au vice par la prime à la vertu »

The Good : 2021 a été une année charnière pour l’impact et pour votre mouvement. Quels enseignements en tirez-vous ? Caroline Neyron : 2021 est l’année d’une certaine consécration pour le mouvement. Il a été fondé il y a plus de dix ans par des pionniers – qui prêchaient vraiment dans le

Jean-Thierry Winstel (Bioviva) : « S’il y a une seule entreprise au monde qui doit faire un jeu éducatif sur les changements climatiques c’est bien Bioviva ! »

Jean-Thierry Winstel (Bioviva) : « S’il y a une seule entreprise au monde qui doit faire un jeu éducatif sur les changements climatiques c’est bien Bioviva ! »

The Good : Bioviva commercialise des jeux éducatifs exclusivement fabriqués en France et éco-conçus. Pouvez-vous nous décrire la Raison d’Être de Bioviva et les preuves de son engagement depuis 1996 ? Jean-Thierry Winstel : La raison d’être de Bioviva est simple : faire du bien à soi, aux autres et

Brice Teinturier (IPSOS) : « C’est le bon moment pour que les entreprises interviennent de manière forte sur les enjeux de RSE »

Brice Teinturier (IPSOS) : « C’est le bon moment pour que les entreprises interviennent de manière forte sur les enjeux de RSE »

La prise de conscience des Français sur l’enjeu climatique et environnemental est claire et s’inscrit dans la durée malgré la pandémie. Dès lors, la RSE est une opportunité à saisir pour les grandes entreprises dont l’image s’est déjà améliorée pendant la crise Covid. Les Français ont des attentes fortes envers les

Pierre-François Thaler, CEO d’EcoVadis : « La supply chain responsable, c’est 80 à 90% des enjeux RSE dans le monde »

Pierre-François Thaler, CEO d’EcoVadis : « La supply chain responsable, c’est 80 à 90% des enjeux RSE dans le monde »

The Good : Pourquoi la transition de la supply chain est-elle un défi aussi difficile à réaliser ?  Pierre-François Thaler : Toute la complexité de la transition de la supply chain s’explique dans son extrême fragmentation. Les maillons de celle-ci se comptent parfois par milliers et l’impact des directions sur

Agence LDP